ITF Bagnoles-de-l’Orne. Axel Garcian s’en sort, Clément Tabur jette l’éponge

Il a passé un peu plus de temps sur le court que la veille… Facile vainqueur d’Arthur Nagel (, son pote et partenaire de double à Bagnoles-de-l’Orne, en 8e de finale, Axel Garcian a dû s’employer en quarts, ce vendredi, face à Adrien Gobat. « Les sensations étaient vraiment compliquées au début, rembobine-t-il. Au deuxième, même si je me fais breaké directement, je sens que ça se met en place. J’ai une grosse occasion de conclure quand je mène 6-3, 4-3 et 0-30… Je ne sais pas si je me suis tendu ou pas mais j’ai plus attendu sa faute. » 

Embarqué dans une troisième manche, breaké le premier, le joueur de 22 ans a finalement réussi à prendre le dessus. « Ce qui est bien, c’est d’enchaîner les matches. Depuis le début d’année, je trouve bien. » Une impression convertie sur le court, une semaine après avoir dû abandonner d’entrée à Bressuire à la suite d’une intoxication alimentaire.

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Ce samedi, Axel Garcian disputera sa demie en simple, face à Lucas Bouquet, puis la finale en double. Le Toulousain enchaine comme souhaité dans l’Orne.

Clément Tabur jette l’éponge

Revenu il y a peu de Thaïlande, où il a atteint le dernier carré en Challenger malgré une alerte à la cheville, la tête de série n°1 espérait une autre issue le jour de ses 25 ans. Le tout sous les yeux de sa grand-mère, originaire de la région alençonnaise. Mais face à l’Italien Filippo Romano, l’actuel 360e mondial a jeté l’éponge au début du second set, après avoir fait appel au kiné en fin de première manche (6-4, 2-0 ab.). « Il n’a pas voulu prendre de risque, confie Christophe Cazuc, venu l’accompagner dans l’Orne. Il n’est arrivé sur place que mardi, avec un gros décalage horaire à encaisser. » Avec Lucas Marionneau, tombeur d’Adan Freire Da Silva (6-1, 6-2), ils ne seront donc (que) trois Français dans le dernier carré bagnolais.